Trois personnes ont été mises en examen, à la mi-février, car elles sont soupçonnées d’avoir tué un sexagénaire à Coupiac, dans l’Aveyron. Leurs versions sur les faits divergent.
Les restes brûlés
Le 28 janvier, Philippe S., boucher à la retraite, âgé de 67 ans, aurait déclaré avoir poussé la victime lors d’une dispute. C’est sa chute, selon lui, qui l’aurait tué. Le second suspect, un fossoyeur de 32 ans, affirme qu’il a été contacté par Philippe S., afin de faire une mauvaise blague à la victime, un sexagénaire, pour lui attacher les mains et les pieds. Il assure qu’ils l’ont retrouvés mort le lendemain matin. Quant à la dernière suspecte, elle nie les faits, d’après La Dépêche du Midi. Elle réclame la remise en liberté, auprès de son avocate.
Le parquet de Montpellier poursuit les investigations pour comprendre les circonstances exactes de ce meurtre. Les enquêteurs ne peuvent cependant pas se servir des restes de la victime pour en apprendre plus. En effet, ils ont été brûlés et éparpillés par les trois suspects, à différents endroits aux alentours de Coupiac.
Dépeçage
Le seul élément dont sont certains les enquêteurs, c’est que Philippe S. allé récupérer sa feuille de boucher chez lui. Puis, il est retourné chez la victime pour démembrer le corps. Ensuite, il aurait dispersé les différents morceaux du corps dans des sacs à gravats.
Loup B., l’homme de 32 ans, insiste sur le fait qu’il n’a pas participé à ce dépeçage. Il l’aurait simplement aidé, toujours selon lui, à transporter les sacs sur un terrain isolé. Les deux hommes auraient ensuite brûlé les restes de la victime. Une enquête pour enlèvement, séquestration, homicide volontaire et recel de cadavre a été ouverte.
Ton dieu n’existe pas sinon il ne permettrait pas ce genre de chose et bien d’autres. Ou alors il est totalement incompétent comme ceux qui nous gouvernent depuis pas mal d’années.