Une mère de famille et sept hommes ont été placés en garde à vue, mercredi 8 mars, après que ces derniers se soient rendus ivres, au centre de loisirs de Maria-Casarès, à Saint-Denis. Comme les animateurs ne voulaient pas leur rendre les enfants au vu de leur état, ils ont agressé et frappé certains membres du personnel.
Les enfants effrayés
Mercredi 8 mars, aux alentours de 18h30, dans le quartier du Landy à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), le centre de loisir de Maria-Casarès est en train de fermer. Presque tous les enfants sont rentrés, sauf un garçon de 5 ans et une fillette de 7 ans, qui attendent leur mère. Le centre finit difficilement par joindre cette dernière. Mais après un certain moment, ce sont deux hommes qui arrivent et non elle.
« Les animatrices ont refusé de leur confier les enfants, car ils ne figuraient pas sur leur listing », selon Leyla Temel, adjointe au maire en charge de l’éducation, la vie scolaire et l’enfance. Sans compter qu’ils sont saouls, ce qui les inquiète. Ils repartent, avant de revenir avec la mère, elle aussi saoul. Les enfants « ont eu un mouvement de recul », affirme une autre source auprès du Parisien. Le centre refuse donc de rendre les enfants.
Confiés aux services de l’Aide sociale à l’enfance
Les enfants sont alors ramenés à l’intérieur et la police est prévenue. Avant que les autorités n’arrivent, la mère revient avec sept hommes. Des disputes éclatent et des menaces de mort sont lancées à l’encontre des animateurs et du gardien, qui essaye de s’interposer. Puis, la porte d’entrée vitrée est cassée par un pavé. Une des animatrices reçoit un coup au visage et un autre au thorax. À l’arrivée de la police, ils sont tous arrêtés.
Quant aux enfants, ils ont d’abord été confiés à leur sœur, âgée de 21 ans. Mais tout comme sa mère, elle souffre d’une grande précarité. En effet, la famille est hébergée dans un hôtel social, à Aubervilliers. Les services de l’Aide sociale à l’enfance ont été prévenus et ils ont été pris en charge. Heureusement, ils ont été écartés et n’ont rien vu de la scène.
voila travailler plus pour payer ces détritus de notre société, en plus défendus par un gouvernement et associations qui bouffe notre argent pour défendre soit disant pour l’aide humanitaire. Balayons déjà devant notre porte!
Qu’attent-on pour les renvoyer dans leur pays, des profiteurs et improductifs, voilà pourquoi la retraite à 64 ans
tout a fait voila ce qui gangrenne la France….hier, aujourd hui et demain, .tous ces dechets……!!!!