@adobestock
L’homme, reconnu dans son domaine, est jugé depuis mardi 30 mai. S’il n’est jugé que pour quatre agressions, il y aurait eu une vingtaine de victimes.
Prescription
L’homme est reconnu dans son domaine, en Île-de-France. Il comparaît devant la cour d’assises du Val d’Oise, car il est accusé d’avoir violé ou agressé sexuellement quatre mères d’enfants qu’il avait circoncis, relate Le Parisien.
En 2017, les premières accusations commencent à tomber. Au total, une vingtaine de femmes confient avoir été victimes d’attouchements sexuels, sous couvert de pratiques médicales. Mais pour la plupart des victimes, les faits sont prescrits.
Il nie
Une des femmes, présentée comme simple témoin, relate qu’il lui a proposé de se venir chez elle, où elle vit seule, pour vérifier la cicatrisation de son fils après l’acte. « Après avoir refait le pansement de mon bébé, il me dit de m’allonger sur le lit et d’enlever mon soutien-gorge pour vérifier si mes seins sont engorgés. »
Il la force à prendre une douche et lui impose une pénétration digitale. « Il baisse ma culotte et insère son doigt, il me parle d’utérus sans même me regarder, et moi je suis totalement sidérée. Puis il se lève et disparaît ». L’homme nie tout acte sexuel. « Il conteste avoir eu la moindre intention déplacée », d’après son avocat. Il encourt jusqu’à 15 ans de prison.
Les parents de ces enfants sont aussi coupables.
L’État Français l’est aussi : « L’homme est reconnu dans son domaine, en Île-de-France ».
Depuis quand et en quels lieux, cette pratique est reconnue en France ?
Quel est le bébé qui demande à ce qu’on lui coupe un bout du zizi.
Comment cette industrie est elle encore permis en France?
Pratique d’un autre age au même titre que l’excision
Je croyais que ces actes de barbarie étaient interdit en France.
et la mère de famille n’ est pas poursuivie pour mutilation volontaire, car je pense qu’ elle n’ a pas demandé le consentement de son enfant