Cet homme de 69 ans est jugé depuis lundi 6 mars, par la cour de Versailles, pour avoir tué son épouse, avant de l’avoir démembrée et emmenée sur un chemin retiré de la commune de Vernouillet pour la brûler. L’homme a mis deux ans à reconnaître les faits, mais il plaide la légitime défense.
L’accusé aide les enquêteurs sans le savoir
Le 31 août 2017, une promeneuse et sa fille retrouvent des os humains, près du chemin des Poiriers, à Vernouillet dans les Yvelines, rapporte Le Parisien. D’abord, les enquêteurs pensent qu’il s’agit de Maëlys, – la fillette tuée en août 2017, par Nordhal Lelandais -, car le corps retrouvé est de petite taille. Mais cette hypothèse est rapidement éloignée par l’autopsie. Le cadavre est dans un piètre état et les enquêteurs mettent plus de deux ans à l’identifier.
C’est Philippe, le mari, de la victime qui mettra les enquêteurs sur la bonne piste. En effet, après avoir déclaré la disparition de sa femme, Anne-Marie, âgée de 67 ans, ses empreintes ont été enregistrées au fichier national automatisé des empreintes génétiques. Il finit par avouer les faits en octobre 2019. D’après lui, sa femme s’est réveillé très énervée le 22 août 2017 et a commencé à l’étrangler. Aux alentours de midi, il aurait commencé à l’étrangler à son tour, pour se défendre. Elle serait morte « accidentellement », selon lui.
Mythomane et nymphomane
Puis, il aurait paniqué. C’est alors qu’il a tranché la carotide de sa femme, avant de la laisser se vider de son sang dans la baignoire. Ensuite, il aurait acheté des produits pour faire le ménage, ainsi que des sacs de gravats, aux alentours de 17h30 et le tout avec la carte bleue de sa femme… Puis dans la soirée, il découpe le corps avec un couteau et une scie manuelle. Il coupe le cou, les épaules, du bassin et des genoux. Ensuite, il a pris soin d’enlever ses dents au marteau, avant de couper ses empreintes digitales avec des ciseaux, ce qui explique qu’il ait été difficile de l’identifier.
Un ami caractérise l’homme de mythomane et nymphomane. D’ailleurs, il a continué à envoyer des messages depuis le portable de la victime et continue à se servir de son portable durant deux ans. Il voulait faire croire qu’elle était partie volontairement. Il se serait servi de 25 000 euros sur le compte de sa femme. Quant à sa version des faits, elle ne semble pas tenir la route. ll est impossible pour un corps de se vider de son sang dans les conditions décrites par l’accusé, comme le souligne le médecin légiste.
Si on lit bien le titre de l’article ,cet homme a « tué le corps de sa femme »
Je pense que le « journaliste » devrait apprendre le français aïs
je pense que celui la il faut le démembrer de la cervelle pour être tranquille.