La demande de révision du procès. de Farid E., condamné en 2003 pour une agression sexuelle et un viol, qu’il a toujours niés, est examinée jeudi 8 décembre. La femme qui l’accusait, a avoué avoir menti, en 2017.
Cinq ans de prison
Aujourd’hui âgé de 41 ans, Farid E. nie depuis 19 ans avoir commis une agression sexuelle et un viol. « Toutes ces années, j’étais innocent », dit-il devant la Cour de révision, comme le raconte BFMTV. Les faits remontent à 1998. Julie D., une jeune fille de 15 ans, raconte aux autorités, qu’elle a été agressée sexuellement quelques mois plus tôt dans la rue, alors qu’elle sortait d’un cinéma à Hazebrouck, dans le Nord. Elle ajoute que quelques semaines plus tard, elle a été violée. Elle dit que le nom de son agresseur est Farid, qu’elle identifie sur les planches de photos que les gendarmes lui présentent.
L’accusé est âgé de 17 ans à l’époque. « ll est socialement défavorisé, ne fait pas grand-chose de sa vie », commente BFMTV. Dès son interpellation, il répète en boucle qu’il est innocent. Il affirme même qu’il n’a jamais eu de relations sexuelles. Julie D. maintient ses accusations et Farid D. est condamné à cinq ans de prison, en 2003.
Pointer au commissariat
Il ne fait pas appel de la décision de justice, car la détention provisoire a couvert sa peine. Il finit par se marier et par avoir deux enfants. Tous les ans, il doit pointer au commissariat, parce qu’il est inscrit au fichier judiciaire des auteurs d’infractions sexuelles et violentes. Puis un jour de 2017, il est informé par courrier qu’il n’a plus à se soumettre à cette « visite ». En effet, Julie D. a adressé un courrier au procureur, pour avouer qu’elle avait menti. L’homme ne l’a ni agressée ni violée.
« Mes parents sont dans un état de santé grave, en soins palliatifs, et je voudrais juste qu’ils puissent entendre que je suis innocent », s’émeut Farid D., devant le tribunal. La décision sera rendue le 15 décembre, et fera peut-être de lui la 12e personne de France, à être reconnue victime d’une erreur judiciaire.
Les personnes qui déposent des plaintes de façon frauduleuse devraient être sanctionnées SEVEREMENT , mais ce n’est pas le cas , alors pourquoi se gêner? Je connais un cas de faux témoignage : une femme dépose une plainte à la police, une voiture vient chercher le mari accusé à tord, il est emmené « manu militari’ devant ses enfants , plaçé en garde à vue 48 heures . Lors du jugement la femme se rétracte, mais le mari a interdiction de s’approcher de SON (Leur) domicile , et la femme regagne tranquillement leur domicile. Le mari est à la rue. . . C’est du vécu et ça laisse SONGEUR . . .Vécu à MULHOUSE
Sans commentaire. Enquête bâclée comme d’habitude par une police incapable et NULLE
La police n’attend que vous , détective de salon. Avez-vous lu son dossier pour dire que l’enquête a été bâclée ? Non ! Bon allez, vous avez été recalé au concours d’entrée mais il ne faut pas vous décourager. Représentez-le.
Il y a plus rien qui m’étonne des milliers de femmes ont reconnu ou ont été reconnus comme avoir déposé de faux témoignages d’agressions sexuelles et envoyé des milliers d’hommes en prison pour rien. D’après des informations informelles de la sécurité et des croisements dans des fichiers judiciaires 1 femme sur 3 qui déposerait plainte le ferait de façon frauduleuse pour des motifs crapuleux, de jalousie ou de malfaisance