Le 2 août, l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) a porté plainte contre la députée La France insoumise (LFI) Sophia Chikirou pour « apologie du terrorisme ».
Cette action fait suite à un hommage qu’elle a partagé sur son compte Instagram personnel en l’honneur d’Ismaël Haniyeh, le leader politique du Hamas, tué à Téhéran par une explosion attribuée à Israël. Le texte, diffusé par le collectif Urgence Palestine et relayé par Chikirou, qualifie Haniyeh de « martyr » et de chef de la « résistance » palestinienne, omettant ses actes terroristes.
L’Union des étudiants juifs de France (UEJF) porte plainte
Raphaël Assouline, militant du collectif juif de gauche Golem, a initialement alerté l’UEJF sur ce post. En réponse, l’UEJF a condamné ce qu’elle perçoit comme une tentative de présenter Haniyeh, responsable d’attaques meurtrières, sous un jour positif. Samuel Lejoyeux, président de l’UEJF, a accusé plus largement les dirigeants de LFI de propager une haine d’Israël, alimentant ainsi l’antisémitisme et la violence. L’UEJF a sollicité l’intervention du Parquet national antiterroriste et a demandé la levée de l’immunité parlementaire de Chikirou.
Encore une polémique pour LFI
Cette affaire a déclenché une pléthore de réactions au sein du paysage politique français. Plusieurs figures de la gauche, cherchant à maintenir l’unité post-électorale, se sont distanciées de Chikirou. Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste (PS), a déclaré que ses provocations ne faisaient que nuire au travail collectif.
Carole Delga, présidente de la région Occitanie, a exprimé sa condamnation en des termes forts, accusant Chikirou de promouvoir le terrorisme et de véhiculer une haine antisémite. Elle a également critiqué les accords électoraux de la NUPES puis du NFP, affirmant qu’ils étaient une fois de plus bafoués par de tels actes.
La Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) a réagi en appelant à l’exclusion de Chikirou de la vie politique, dénonçant la complaisance envers des positions inacceptables et annonçant la saisie de sa commission juridique pour examiner l’affaire. Jusqu’à présent, Sophia Chikirou n’a pas répondu à ces accusations.
Imaginez cette femme ministre un jour, voire 1er ministre si son Mélenchon de « partenaire » arrivait à remplacer Macron ? LFI …. La France Indigne
lfi = la france islamiste ! 🙁
c’est pitoyable et pas étonnant de la part de ces antisémites notoires !
Quelle soit punie et virée de l’A.N.