La polémique a enflé dès lundi soir quand le Premier ministre a décidé de prendre un jet privé de la République pour se rendre au conseil municipal de Pau au lieu de se rendre à Mayotte auprès des sinistrés. Il y a donc deux décisions qui ont été soulevées par la représentation nationale. La première est que François Bayrou ait décidé de conserver son poste de maire de Pau alors que le pays traverse une crise sans précédent. La seconde est d’avoir préféré se rendre au conseil municipal de sa ville alors que Mayotte, département français au même titre que les Pyrénées-Atlantique, a été ravagée par le cyclone Chido.
Une réunion interministérielle de crise à l’Élysée
Des insoumis au Rassemblement national, tous les élus parlent bien d’une «faute politique». Car, en effet, si le locataire de Matignon pouvait juger que ce n’était pas le bon moment pour se rendre à Mayotte, il y avait bien une réunion de crise à l’Élysée sur cette catastrophe lundi soir. De plus, le choix de prendre un Falcon de la République, un jet privé, pour aller à ce conseil municipal quand, dans son discours de transition avec Michel Barnier, Bayrou avait soulevé l’importance de la transition écologique, n’a pas été au goût de tous. Ainsi, mardi 17 décembre, lors des questions au gouvernement, il n’a pas manqué de faire réagir non plus. Interrogé sur cette réunion, le Premier ministre, très calme, dira aux députés qu’il y était… mais en visioconférence, «de la première à la dernière minute».
«Ne pas séparer la Province de Paris»
S’il appartient aux élus de parler de «faute politique», certains professionnels de ce domaine préféreront évoquer des erreurs en matière de communication. En effet, toujours durant la même séance de questions à l’Assemblée, François Bayrou va ajouter, afin de justifier sa présence dans la commune béarnaise: «Pau, c’est en France […] J’ai présidé le conseil municipal de ma ville de 19h à 23h. Je considère que, ce faisant, j’étais aussi à ma place de citoyen et j’ai l’intention de défendre cette idée que la citoyenneté ne se divise pas entre être à Paris et occuper ses responsabilités de citoyen sur le terrain».
la génération actuelle remet tout en cause : nos valeurs, nos traditions, notre orthographe, l’éducation des enfants etc…etc… pourquoi accepterait-elle que des « vieux » donnent des conseils et pire …..gouvernent. Le pire c’est qu’au présidentielles ils vont voter les extrêmes alors que nous avons toujours prévenu que les extrêmes de tous poils, de toutes religions, de toutes idéologies sont des êtres dangereux pour l’humanité .
C’est normale que le peuple vote les extrèmes car si il n’avait pas été abusé par des inégalités de toutes sortes aussi le peuple s’est réfugié dans les extrèmes, si les autres c’étaient comportés honnètement et surtout justes vis à vis des travailleurs sans abus de certains gvts cela ne serait jamais arrivé…..