Eric Dupont-Moretti / Capture d'écran LCP
Si l’on a beaucoup parlé des Soulèvements de la Terre, cela reste un collectif réunissant un grand nombre de groupuscules extrémistes. Jeudi 7 septembre, devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les violences commises à Sainte-Soline, le ministre de la Justice a exprimé son «ras-le-bol» face à «la petite musique de la désobéissance civile» organisée sans cesse par l’extrême gauche.
La liberté du peuple ne passe pas par la désobéissance civile
Éric Dupont-Moretti a expliqué devant les députés qu’«on a le droit, disent certains, quand on est porteur d’une cause légitime, de ne plus obéir à la loi. C’est infernal», avant d’ajouter que «rien n’est plus liberticide». Dans le collimateur du ministre, le collectif écologiste Les Soulèvements de la Terre que Darmanin avait voulu dissoudre, sans succès, car la décision a été suspendue par le Conseil d’État. Les différentes actions des extrémistes écologistes ont laissé une grande partie de l’opinion sans voix. Dupont-Moretti demande donc si «quand on n’est pas content de l’inaction gouvernementale en matière d’écologie, on peut aller fracasser des œuvres d’art?».
On peut citer aussi les destructions de terres de petits agriculteurs ou celles des étudiants de l’INRA cet été près de Nantes. Le ministre dira qu’il s’agit de «hordes de types qui ne respectent rien» qui ont «traversé l’Europe» pour se rendre à Sainte-Soline. Il assénera: «Je suis très choqué par ça» et à rappeler le récent incendie du tribunal d’Aurillac par des manifestants. Il poursuivra sa démonstration en expliquant que «tous ensemble, si on est respectueux de notre démocratie, on doit s’interdire ce laissez faire, cette scandaleuse musique disant : Mais vous avez raison, allez-y, fracassez tout, vous avez le droit».
Un soutien politique massif de LFI et des Écologistes
Le problème est le lourd soutien dont bénéficient les activistes de ces groupuscules. Quand ils ne participent pas avec eux à ces destructions, les élus de la Nupes soutiennent et défendent leurs actions au sein même de l’Assemblée. Le ministre de la Justice dénoncera «les incendiaires (du) monde politique)». Quand un député lui demandera s’il vise un groupe en particulier, il répondra: «l’extrême gauche».
Tout comme les honnêtes gens en ont « ras-le-bol » de la racaille, Ducon-Moretti !
Abrutis de gauchiotes! Leur parti est en déconfiture après les frasques de leur guignhollande, il faut bien qu’ils trouvent des voix et les islamistes votants étant de plus en plus nombreux dans ce pays……….