Cependant, si dans un premier temps, la commission, composée de membres nommés par l’édile, a établi que le voyage avait coûté 60.000 euros aux parisiens, son président, Yves Charpenel, est venu expliquer la méthodologie de cette comptabilité. Malheureusement pour Hidalgo, ses déclarations n’ont fait que relancer la polémique et l’opposition souhaite désormais saisir la justice. En effet, la commission n’a eu accès qu’à peu de documents dans les faits.
De nombreuses questions autour des billets retour des membres de la délégation
Les neufs membres de la commission de déontologie, tous nommés par Hidalgo, ont vérifié les factures liées aux déplacements, les agendas mais aussi les articles de presse locale pour vérifier qui était présent et qui ne l’était pas. L’objectif était d’éteindre l’incendie créé par Hidalgo quand l’opposition a appris qu’elle ne s’était pas rendu sur le site olympique et qu’elle avait pris un vol pour aller voir sa fille qui vit sur l’île de Raiatea, proche de Bora Bora. Toutefois, Yves Charpenel, très discret jusqu’à présent, reconnaît que «la saisine que nous a faite la maire concernait uniquement son voyage». Donc, il n’y a pas eu de vérification sur l’ensemble du voyage de la délégation.
Les autres membres de la délégation n’ont pas payé leur voyage de retour
Eux aussi, ayant décidé de prolonger leur voyage en Polynésie, auraient dû payer leur billet de retour mais aussi un certains nombre de frais déclarés comme professionnels. À cette question, le président de la commission répondra que «nous n’avons pas étudié les conditions de voyage des autres membres de la délégation, répond le responsable de la commission. Nous avons vu les billets d’avion de la maire de Paris mais nous n’avons pas regardé ceux des autres membres de la délégation». De plus, l’opposition soulève une question importante sur la date d’achat du billet retour de la maire de Paris. En effet, celui-ci a-t-il été acheté avant le départ de la délégation le 16 octobre ou après lorsque la polémique sur ce séjour a commencé à éclater à Paris? Interrogée par Libération, Hidalgo répondra qu’elle «n’a pas le temps pour ce sujet».
Et oui , et pendant que cette conne se paie des vacances en Polynésie sur le dos du contribuable , nous ont se lève à 6 heures du mat pour lui payé ses vacances !! Et c’est cette même conne de gauche qui demandera aux Parisiens de faire des efforts !!
Les parisiens l’ont élue, et il n’y a pas eu de contestation, qu’ils assument le choix de leur vote, ils sont grands et intelligents (paraît ils), qu’ils passent donc à la caisse, et payent les frasques de leur mairesse.