L’annonce de la suppression de 1510 postes d’internes dans les hôpitaux publics pour la rentrée de septembre 2024 est un coup de massue à la fois pour l’hôpital comme pour les patients. Alerté en avril sur ce point, le ministre démissionnaire de la Santé, Frédéric Valletoux, nie toute responsabilité du gouvernement dans cette décision.
Un rapport de l’Assemblée nationale avait alerté le ministère de la Santé
Le travail de ces parlementaires, où toutes les formations étaient représentées, portait sur les déserts médicaux. Publié en avril dernier, il mettait en garde contre une perte de 1510 places d’internes dans les hôpitaux publics pour la rentrée de septembre 2024. Toutefois, selon Valletoux, le gouvernement n’aurait aucune responsabilité dans ce grave phénomène. Si dans un article publié dans Libération, le ministre de la Santé expliquera qu’il s’agit d’une «petite manipulation de la vérité», il expliquera sur X que «les gouvernements ont toujours ajusté le nombre de postes d’internes au nombre d’étudiants qui passent et réussissent leurs examens». Et d’asséner: «1.500 d’entre eux ont fait le choix de ne pas présenter l’examen. La faute du gouvernement forcément ?».
Une réforme du deuxième cycle mise en cause
Nombre d’étudiants, et leurs parents, ont bien été directement affectés par cette réforme. Elle concerne le deuxième cycle des études de santé mise en œuvre en 2023 et notamment les «ECOS»: les épreuves orales du concours. Elles sont censées évaluer la pratique des internes grâce à des exercices de simulation. Et, en effet, très inquiets de rater leur année à cause de ce nouvel examen, 660 étudiants ont préféré redoubler afin d’éviter d’être «une promotion crash test». De plus, 240 n’ont pas obtenu leur passage dans la classe supérieure à cause de cet examen où ils ont échoué. Presque 10.000 places étaient attendues pour cette rentrée mais il n’y en aura que 7974. Soit le taux le plus faible depuis 2016 et très loin des 16.000 places promises par Matignon pour 2027.
qu’est ce que vous attendez les infirmières de vous vous barrez de l’hopitale ou travaillés pour la gloire.
ce métier ça n’existe plus en France allez vous chercher un autre mais ailleurs au canada bon salaire de 50% de plus il cherche a gogo
ou autres pays
Combien entrent parce que Papa connaît bien le représentant syndical ou que maman a été autrefois le copine du maire, du député, du conseiller départemental du conseiller, régional ou même du ministre ? On les planque là parce qu’ils ne savent pas faire grand chose, mais à un poste élevé parce que mieux payé et que c’est le fils d’un copain… Ils s’emmerdent toute la journée parce que ce travail est ennuyeux, alors ile emmerdent les autres pour faire croire qu’ils travaillent. Le facteur à 12 secondes pour passer de maison en maison. Le couillon n’a pas compté les vingt boîtes aux lettres de chaque immeubles… Et c’est partout pareil.
Pendant ce temps, le budget de l’Elysée a explosé, l’assainissement de la Seine a couté 4 milliards, et macron fait son cinéma en disant qu’être Français c’est être ensemble. Va comprendre Charles !!!!!!
C’est une honte ! mais ils ne rougissent pas , bien au contraire on dit y être pour rien ! comme cela on est responsable de rien !
Si les « bien pensants » étaient au même niveau que nous (attendre 5 mois pour un dentiste, 6 mois pour un RDV à l’hôpital…) peut être qu’il y aurait plus de praticiens. Mais quand MONSIEUR le député téléphone pour un bobo à la tête, LUI est pris tout de suite, alors pourquoi râler? tout va bien: les riches sont soignés. Les puent la sueur eux … ça sert à rien, ils sont nombreux!!
Si les députés étaient payé aux résultats, nous ferions des économies, et pourrions payer des internes!
C’est normal après tout on a embauché tellement de copains comme gestionnaires, qu’il faut bien dégraisser du côté de ceux qui sont utiles. N’oublions pas qu’on entre là « pour attendre sans s’en faire que l’heure de la retraite sonne » ces internes gâchent le métier : ils travaillent même de nuit et c’est partout la même chose dans le fromage. Ils sont bien plus nombreux dans les bureaux de la SNCF, que sur les voies, il faut maintenant des mois dans une mairie pour une carte d’identité, etc… Les chevaliers du fiel ont de sacrés leçons à prendre dans l’administration : les couillons qui travaillent fatiguent les autres…
Bien dit, comme vous dites il faut 3 personnes qui ne servent à rien dans les bureaux pour 1 personne qui travaille durement manuellement et c’est pour tout pareil, c’est normal avec tous les planqués lécheurs de cul…..