Cependant, depuis quelques semaines, nombreux sont ceux qui s’intéressent à cette surexposition médiatique venant de quelqu’un resté discret si longtemps. Dans une nouvelle interview donnée sur BFM/RMC jeudi dernier, c’est Apolline de Malherbe qui a posé les questions qui fâchent. Très vite, Dominique de Villepin a perdu son sang-froid et a fait des allusions plus que douteuses sur la ligne éditoriale de la chaîne d’information en guise de défense.
Interrogé sur ces liens avec le Qatar et l’Arabie saoudite
L’ancien Premier ministre (2005-2007) a été interrogé sur ces activités professionnelles essentiellement concentrées au Moyen-Orient. Celui qui refuse de publier ses comptes depuis 2008 expliquera qu’il agit comme «conseiller en matière internationale» se targuant de son expérience de ministre des Affaires étrangères (2002-2004). Alors que cette omniprésence médiatique, depuis que le conflit entre Israël et le Hamas a débuté, soulève la curiosité de nombreux journalistes, la question de notre consœur semble justifiée. Il a donc d’abord simplement répondu que «personne» ne le payait, et d’expliquer: «J’ai une société qui a des activités. Par définition, quand vous avez une activité de conseil, vous ne donnez pas le nom des personnes, je serais totalement prêt à le faire dans un cadre confidentiel». Puis, Villepin a ajouté: «Mais il n’y a aucune puissance étrangère qui est derrière».
Villepin, avocat au barreau de Paris depuis janvier 2008, détaillera le cadre de ses interventions: «L’activité de ma société est complètement liée à deux sociétés françaises de conseil, deux sociétés françaises à qui j’apporte des conseils sur le plan géopolitique en France pour l’étranger». Et d’ajouter: «Pour le reste, mes activités sont bénévoles, la plupart, dans le domaine de l’art et de la culture, (…) donc il n’y a rien à soupçonner, rien à sous entendre».
L’opacité de ses revenus en question
Dimanche 25 février, Le Monde publiait une enquête sur l’opacité de ses revenus. Ainsi, à l’exception de l’année de la création de sa société où il avait déclaré un chiffre d’affaires de 4.6 millions d’euros, de Villepin refuse de publier les comptes de sa société et préfère payer une amende annuelle pour non-déclaration des comptes de société. À ses réponses plus qu’évasives et ses prises de position très proches de celle de Mélenchon quant au Hamas, Appoline de Malherbe lui dira clairement pourquoi elle l’interroge sur ces questions. Elle lui dira: «Moi je veux juste savoir qui parle, je veux savoir si je fais partie du business plan de Dominique de Villepin, le fait de s’exprimer, savoir si ça fait partie de l’influence qu’il monnaie, moi je donne un micro à Dominique de Villepin je ne veux pas le donner sans savoir à quoi je participe».
De la Gorce, Carreyrou, n’ont pas chanté sur les toits qu’ils travaillaient pour l’URSS, le rédacteur de l’Express dont j’ai oublié le nom lui non plus, même s’il avait un bon salaire (avec le treizième mois) comme espion. Un politique, surtout ancien fonctionnaire, on peut toujours s’attendre au pire. Sait il seulement ce que « gagner sa vie » signifie ?
J’ai vu l’interview de Mr De Villepin et je dois dire que Malherbe est une journaliste qui veut faire le buzz. C’est une garce qui ne se conduit pas toujours de la même façon selon que vous soyez proche de Macron ou non. A la place de Mr De Villepin, je lui aurait foutu ma main sur la gueule et je serai parti. Une vraie petite conne, comme la plupart des ceux et celles qui sont chez BFM dirigé par un sale con
Quelle élégance…de style et de comportement…! Vous préférez sans doute les génuflexion de CNEWS devant lefric de Bolloré et consorts….