Très vite, des voix se sont élevées, aussi bien du monde politique que de la société civile, pour dénoncer la fin de la reconnaissance du mérite au profit de choix purement ethniques. Comme parmi ces voix, il y avait celle du Rassemblement national, la ministre a immédiatement parlé de «fake news» et d’une manipulation de son discours «par l’extrême droite». Il est donc intéressant de reprendre les propos très clairs de la ministre afin de savoir si, oui ou non, son initiative est bien basée sur des questions de «couleur de peau» et de religion.
Le terme «diversité» revient souvent dans son discours
Rima Abdul Malak a commencé par dire regretter «un manque de diversité» dans les «directions d’institutions», pointant du doigt «les scènes nationales, scènes de musiques actuelles, centres d’art, pôles cirques, Fonds régionaux d’art contemporain (Frac)», etc. L’objectif de ce projet sera donc «de former, d’accompagner, de “mentorer”, de susciter l’envie» de nouveaux candidats. Il pourra s’agir ainsi de «personnes (…) capables mais qui ne veulent pas candidater» ou de personnes «qui ne se posent même pas la question».
Concernant la diversité, la ministre de la Culture va préciser son propos. Si, au départ, il est question de la «diversité sociale et géographique» ou encore le «handicap», Rima Abdul Malak va bien parler aussi «de la couleur de la peau et des origines sociales». Par conséquent, elle précise bien elle-même que la «couleur de peau» est bien l’un des critères de la diversité sur lequel il sera possible de s’appuyer.
Oui, la ministre de la Culture a bien évoqué des critères ethniques pour les prochains nominations
La ministre ne citera donc que l’accusation de la députée RN Caroline Parmentier de «discrimination sur la base d’un critère ethnique» avec la prise en compte de la «couleur de peau» à l’Assemblée nationale. Tentant de faire marche arrière devant les députés, elle dira: «Je n’ai pas parlé de critères. J’ai précisé plusieurs fois que j’entendais diversité au sens social, géographique». Néanmoins, en reprenant la conférence de presse point par point, Rima Abdul Malak a bien mentionné, en premier lieu, «la couleur de peau». Par conséquent, les élus qui ont relevé ce point essentiel de son discours ont vu juste.
En effet, la ministre de la Culture a donc introduit des critères ethniques pour le recrutement des futurs dirigeants des lieux culturels français. Ce qui revient à établir de la discrimination positive ethnique dans le recrutement d’agents publics, pratique totalement contraire au droit français.
Allez voir dans les autres pays si ça se passe comme ça ? Et bien non !! Mais nous ont veut faire voir au monde entier que la diversité est une très bonne chose , et pourtant à chaque fois qu’il y a des faits divers , regarder les noms quand les médias veulent bien les donnés , ce sont des étrangers !! Un texte de loi qui est urgent aujourd’hui , c’est ( La destitution de nationalité ) !!
« elle précise bien elle-même que la «couleur de peau» est bien l’un des critères de la diversité sur lequel il sera possible de s’appuyer ».
Nous sommes en macronie, elle devrait y aller carrément et désigner ses copines et copains islamo-gauchistes aux postes concernés, et les cons de Français n’auront rien à dire.
Et allez ! L’air de rien, vous ne vous en rendez pas compte, mais cela va à l’encontre de vos désirs de régulation de l’immigration. C’est à dire que en douce, on continue à vous forcer à accepter cette nouvelle forme de société que pourtant vous réfutez à grands cris. Ils se foutent de nous !
C’est déjà en cours depuis longtemps ! Quand M. Zémour parle du grand remplacement, c’est déjà mis en place depuis au moins le règne de Sarco. On a eu une ministre de l’éducation nationale française qui était franco marocaine ! Et personne ne s’en est offusqué ! Allez voir, si dans les pays musulmans, ils mettent en place des responsables politiques semi étrangers à leur pays …. Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres !!! Dans les universités, les centres de recherches, les services hospitaliers, les chefs ou les responsables (et même certains préfets ) interrogés par les médias sont le plus souvent des gens issus du Maghreb ou d’ailleurs, (vu leur apparence et leur nom) et certains ne possèdent même pas la langue française suffisante lorsqu’ils s’expriment. On se demande parfois où sont passés les Martin et les Dupont…. Pareil dans les films et les séries : il faut nécessairement qu’il y ait le quota de gens de couleurs et de maghrébins et maintenant d’homos. C’est sans doute la discrimination positive, mais c’est devenu trop systématique, cela devient ridicule car, dans un scénario quel qu’il soit, il n’y a pas forcément la nécessité de ces personnes-là ! C’est manifeste qu’on arrange l’histoire exprès, de façon à les y incorporer ; à force de vouloir les imposer à tout prix, c’est d’une stupidité qui ne peut que nuire à l’image de ces personnes.. .
Complètement d’accord avec vous, il y a longtemps qu’on est d’un ridicule et personne s’en offusque c’est devenu banal aux yeux des français et surtout ils veulent tellement être hyper tolérants qu’ils acceptent tout et n’importe quoi pour être soi-disant dans le coup et c’est tjrs après qu’ils se poseront des questions quand c’est trop tard et surtout qu’ils ont été bernés….