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Suivant les indications du suspect lui-même, le corps de la jeune fille a été retrouvé par la gendarmerie dans la nuit de vendredi à samedi. Selon l’une de ces sources, il était à l’intérieur d’une maison située dans la commune de Birac-sur-Trec, à une soixantaine de kilomètres au nord-ouest d’Agen. Une autre source a précisé que le cadavre avait été retrouvé dans une maison «abandonnée» dans ce secteur.
La jeune victime a-t-elle été violée avant d’avoir été tuée?
Si samedi soir, le procureur, Olivier Naboulet, n’avait pas confirmé le mode opératoire du meurtre, ni si le suspect avait avoué les faits, il prévoyait de tenir une conférence de presse samedi à 17h au palais de justice d’Agen. Toutefois, de nouveaux éléments sont apparus au cours de l’enquête ainsi que d’autres aveux du suspect. Ce dernier a finalement reconnu avoir aussi violé la collégienne.
L’homme de 31 ans soupçonné d’avoir tué une collégienne de 14 ans vendredi en Lot-et-Garonne a été mis en examen dimanche pour enlèvement et séquestration, viol et meurtre sur mineure. Le procureur d’Agen a précisé dans un communiqué qu’il a été placé en détention provisoire. Selon Olivier Naboulet, cet intérimaire habitant à Marmande a avoué en garde à vue avoir passé la matinée de vendredi à Tonneins dans sa voiture, consommant du cannabis, près du collège Germillac.
Déjà connu des services de police
Il a remarqué sa jeune victime qui marchait sur le trottoir et l’a fait «entrer de force dans son véhicule avant de rapidement quitter les lieux». «Confus dans ses explications» sur son parcours en voiture, le meurtrier, s’appelant Romain C. dans le communiqué, a dit aux enquêteurs s’être garé «à l’abri des regards» et avoir décidé de violer sa victime. Afin de masquer son crime, il a alors décidé de la tuer «en l’étranglant».
Selon BFMTV, une autre source proche du dossier a précisé que cet homme était déjà connu pour des faits de nature sexuelle remontant à une époque où il était mineur. Il n’avait pas été condamné à une peine de prison à l’époque et avait, par la suite, commis des faits de dégradations et de vols. Il ne bénéficiait pas de suivi socio-judiciaire. Il n’avait pas été condamné pour des faits de viols jusqu’à présent.
Nous avons marre de voir les prédateurs rôder autour des enfants, avoir commis ce type de délit dans le passé et être en liberté pour attaquer à nouveau. La justice fait quoi?
Mais j’en ai MARRE que des prédateurs récidivistes tuent nos enfants pour leurs fesse!!! Je remarque chose: C’est que, pour une fois, on donne le prénom pour bien montrer qu’il doit être français…..