Initialement, le bouclier tarifaire qui protège les ménages face aux hausses historiques des prix de l’énergie, électricité et gaz notamment, devait s’arrêter le 31 décembre 2022. Cependant, la Première Ministre a annoncé fin août que «l’exécutif allait amortir les hausses des prix de l’énergie après la fin du bouclier tarifaire, grâce à des dispositions spécifiques pour les plus fragiles.
La difficile équation entre factures des français et les finances publiques
Sur France Inter, le 3 septembre, le ministre délégué chargé des Comptes publics a dit: «Je suis en train de préparer le budget et mon état d’esprit est de dire qu’il ne faut laisser dérailler ni la facture des Français ni nos finances publiques». Il s’agit de protéger le pouvoir d’achat des français mis à mal par une inflation incontrôlée. Il a insisté sur le fait que «si on ne faisait rien, la facture d’électricité augmenterait en moyenne de 100 % (en 2023, NDLR). Cela fait 120 euros pour la facture moyenne des Français par mois ».
Son collègue aux Finances, Bruno Le Maire, avait expliqué le 30 août que le bouclier énergétique a gelé la hausse des prix réglementés du gaz depuis l’automne dernier et limité à 4% cette année celle des prix de l’électricité (alors qu’elle aurait dû être de 40 %). L’inflation est, en France, plus faible que dans les autres pays de la zone euro. Toutefois, on a constaté que le coût de ce bouclier tarifaire sur les prix de l’énergie se chiffre à 24 milliards d’euros depuis son déploiement. Quand sera-t-il pour l’année 2023?
D’autres mesures à prévoir
Il reste une inconnue de taille: quelle sera la marge de manœuvre du gouvernement pour ce dispositif à partir du 1er janvier? En effet, Attal n’a pas précisé à quel niveau d’augmentation seraient bloqués les prix de l’énergie. «Les arbitrages sont en cours et doivent être rendus dans les prochains jours», a répondu le ministre toujours sur France Inter. Il a toutefois avancé un chiffre: il est possible que les prix de l’électricité n’augmentent que de 10 à 20%. » «Il y aura une hausse, mais ça ne sera pas 40 % comme en Allemagne».
Pour les ménages les plus modestes, l’ancien porte-parole du gouvernement a assuré que le projet de loi de finances 2023 allait prévoir des crédits budgétaires dans le cas d’une hausse trop importante sur le modèle des chèques énergie.
Nous allons surtout payer les erreurs de Hollande-Macron pour avoir fermé Fessenheim, à la botte des écolos et avoir mis une partie de nos centrales nucléaires en maintenance, les mauvaises décisions prises pour une guerre qui ne nous concerne pas mais qui nous coûte très, très cher !
Plus l’autonomie de notre énergie pendant longtemps et des mesures drastiques , dictatoriales pour empoisonner notre existence pendant que les pays les plus pollueurs continuent à polluer sereinement la planète !
Certaines de nos mesurettes tombent dans le ridicule !!!
Achetez des voitures électriques quatre on parle de pénurie de l’électricité ! Tout est son contraire ! On se fiche de nous !
Les écolos se taisent et ferment leur bec !!!
Quelle belle époque !!!
Confinement insensé par la peur cause covid , retour à la vie de nos grands-parents, immigration et islamisme, privations en tous genres mais certainement pas pour ceux qui nous font la pub du « col roulé »
A quand la révolte ???
avec l’équipe de sioux qui gouverne on n’est pas dans la merdouille bien épaisse et collante….et ça depuis l’arrivée de notre trouple mitterand et compagnie, cela n’a pas cessé, alors soyons réaliste pour finir avec un gamin, il va falloir changer de jeu de l’oie…..très rapidement
tout à fait d’accord avec vous, les niqués le mot qui leur va comme un gant, et il y en a beaucoup autour de nous, pire que les punaises
C’est sûr que nous allons payer. Déjà la taxe foncière à augmentée de presque 4%.