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Un drame bouleversant a éclaté à Montpellier, mettant en lumière un cas extrême de maltraitance infantile. Amandine, 13 ans, a perdu la vie dans des conditions atroces, marquées par des privations alimentaires et des violences répétées infligées par sa propre mère. Ce calvaire, qui soulève des interrogations profondes sur les failles du système de protection de l’enfance, sera au centre d’un procès très attendu.
Une enfance brisée par la maltraitance
D’après les conclusions du juge d’instruction, les violences infligées à Amandine étaient d’une intensité destructrice. Privée de nourriture, punie sévèrement et enfermée durant des années, elle pesait seulement 28 kg pour 1,55 m au moment de son décès. Les experts psychiatriques évoquent une haine que Sandrine Pissarra, la mère, aurait transposée sur sa fille, rendant son quotidien insupportable.
Un répit éphémère interrompu par le confinement
Placée en internat, Amandine avait trouvé une certaine stabilité loin de l’environnement toxique de sa mère. Cependant, le confinement lié à la crise sanitaire l’a forcée à revenir chez elle, où les abus ont repris de manière intense. Son père, injustement écarté de sa vie suite à de fausses accusations, n’a pas pu intervenir, restant impuissant face à la descente aux enfers de sa fille.
Des circonstances macabres révélées par l’enquête
Le décès d’Amandine a été imputé à une insuffisance cardiaque causée par une privation alimentaire prolongée. Les secours, en arrivant sur les lieux, ont découvert un corps marqué par les contusions, des dents manquantes et des zones de cheveux arrachés. La mère, en détention provisoire avec son compagnon, fait face à des accusations lourdes, tandis que ce dernier est poursuivi pour non-assistance à personne en danger.
Le système de protection en question
Cette affaire tragique met en lumière les failles d’un système censé protéger les enfants en danger. Les signaux d’alerte, bien que nombreux, n’ont pas suffi à éviter le pire. Des associations comme « L’Enfant Bleu » appellent à une réforme urgente des mécanismes de signalement et de prise en charge.
Un procès pour rendre justice et tirer des leçons
Alors que le procès s’apprête à débuter, l’histoire d’Amandine soulève des questions fondamentales sur la responsabilité collective face à la maltraitance infantile. Ce drame doit non seulement rendre justice à une vie innocente brisée, mais aussi servir d’électrochoc pour prévenir de telles horreurs à l’avenir.
Je m’étonne de certains commentaires qui disent comment peut-on faire cela à son propre enfant ?!
Ces sévices sont horribles que ce soit sur son propre enfant ou sur celui d’un autre.
Je ne sais pas ce qu’il faut faire de cette mère Indigne, mais il ne faut plus qu’elle soit remise en liberté, quand à son compagnon lui aussi mérite une punition à la hauteur de sa lâcheté.
Comment peut ont faire subir cela à sont propre enfant il faut vraiment être complètement ravagé moi pas jugement malheureusement la peine de mort existe plus sinon c’est à la guillotine qu’elle mérite cette désaxée
Mais comme,t est-il possible de faire subir autant de violence et de privations à son enfant ??? Cette mère ne mérite que la prison à vie, puisque la peine capitale a été supprimée …
Impossible de rester stoïque devant le sort de cette malheureuse fillette.
Le système éducatif endosse une grande responsabilité dans ce dossier mais la justice également à priori. Ne connaissant pas les détails, le père semble avoir été écarté de l’éducation de sa fille par de fausses accusations. Il aurait fallu peut-être pousser plus loin les investigations sur la réalité des faits reprochés au père dans le cas présent. Les magistrats attribuent trop facilement la garde des enfants aux mères, qui parfois sont de véritables monstres ! Attention toutefois, aux signalements abusifs auprès des services sociaux.
C’est horrible ! Comment peut-on ainsi s’acharner sur une fillette ! De surcroît sa mère !! J’espère qu’elle sera puni sévèrement