Les faits se sont déroulés à Ancenis, petite commune de Loire-Atlantique. Il semble bien qu’il n’y ait plus d’endroit sûr sur le territoire tellement ces faits se répètent. Et c’est bien la crainte de nombreuses femmes, quelle que soit leur âge, qui partent courir ou se balader toute seule: se faire agresser voire, dans le pire des cas, être violée.
Une agression préméditée?
La sexagénaire a l’habitude de se promener sur les bords de la Loire. Toutefois, ce lundi 31 juillet, quand elle prend le chemin au niveau de l’écluse, son agresseur la surprend par derrière et lui met sa main sur la bouche pour l’empêcher de crier. Même si elle tente de se défendre avec ses bâtons de randonnée, le jeune homme la jette violemment dans le fossé voisin. Toutefois, la femme de 66 ans continue de se défendre et arrive à le frapper à la tête avec des branches mais cela sera insuffisant pour décourager son agresseur. Il parviendra à la déshabiller et à lui toucher l’entre-jambes afin de la violer.
Néanmoins, la victime essaiera de se défendre et ses cris vont alerter un groupe de randonneurs qui passait près de là. Ils ont réussi à faire fuir le violeur sans pour autant parvenir à l’arrêter. Un promeneur retrouve la sexagénaire dans le fossé, choquée, et la conduit au poste de gendarmerie. L’agresseur est tombé sur une femme beaucoup plus forte qu’il ne le pensait. Malgré ce qu’elle venait de subir, elle a réussi a donné une description précise du violeur aux gendarmes. Ce qui leur a permis d’établir un portrait-robot et de le diffuser. Toutes les gendarmeries de la région ont été alertées et se sont mises immédiatement au travail.
Le suspect arrêté une semaine après les faits
Un dispositif est très vite mis en place sur les bords de la Loire afin de retrouver le violeur mais aussi de rassurer la population. C’est un chien de l’équipe cynophile qui retrouve le chemin emprunté par le suspect. De plus, les enquêteurs sont aidés par les images de vidéosurveillance des différents lieux pris par l’agresseur de la sexagénaire. Les gendarmes arrivent quelques jours plus tard a l’identifier: il s’agit d’un homme de 24 ans qui habite Ancénis aussi. Son ADN et les prélèvements gynécologiques confirment qu’il est bien le violeur de la femme de 66 ans.
La France orange mécanique !!
Une majorité de nos concitoyens ont votés pour ça, alors n’attendez rien des politiciens ni de la justice en place !!!
Et pourquoi-pas comme au moyen-âge ? les violeurs était attaché a poil a un poteau a la merci des passants. ils réfléchirais a deux fois avant de passer a l acte .
attaché les violeurs étant a poil sur un poteau à la merci des passants quéquette à l’air avec du miel puis verser les fourmis c’est leur dessert préféré ….le top Non remboursés par CPAM
Pourquoi chimique… dans ce genre de cas, les médicaments sont à vie et remboursés partiellement par la « Sécurité Sociale ». Pourquoi la population devrait payer pour cette ordure…
Castration à vif et prison pour 30 ans !
30 ans de prison à vie minimum avec castration chimique !
30 ans de prison minimum avec castration chimique !
Bizarre, on ne parle même pas de ses origines! Au canada, ils mettent même la photo dans les journaux, ils sont moins bêtes que nous, ici on protège les délinquants!
Compte tenu des faits, il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’un « boubou » frustré habitué à violer comme dans son pays d’origine…
Non, type méditerranéen, cheveux brun; frisé ….peut-être un belge ???
Faut lui coupé les coronès !! Il est prouvé que ces personnes là repassent à l’acte plus tard , même s’ils font de la prison !!
Ablation totale des parties génitales pour le contraindre de n’uriner qu’en position assise…
Ses compagnons de cellule n’en seront que plus satisfaits !