Le malaise est bien là et ce n’est pas que LFI qui est touchée mais toute la Nupes. Bien entendu, c’est Mélenchon qui a souhaité un retour au plus vite de son fidèle lieutenant, ce dernier étant officiellement en arrêt maladie depuis le 18 septembre. Toutefois, c’est faire fi, un peu trop vite, de ses aveux concernant les violences commises contre sa femme.
Mélenchon à la manœuvre, le parti reste discret
L’affaire est délicate à plusieurs titres. Tout d’abord, le leader de l’extrême-gauche campe sur ses positions concernant les violences conjugales au sein du couple Quatennens. Il dira dans les colonnes du Figaro: «Adrien a avoué une gifle. Ça le rend inéligible à vie? Il va remonter sur son cheval et nous allons l’aider». De plus, les féministes ne souhaitent pas son retour. La très médiatique Sandrine Rousseau l’a dans son collimateur. Le député du Nord a exprimé lui-même son désir de revenir à plusieurs de ses collègues.
Il a dû estimer que quelques semaines de silence ferait oublier ce qu’il a fait. C’est probablement pour se rappeler à ses amis qu’il a publié un tweet de solidarité après l’effondrement de deux immeubles dans le centre de Lille. Le problème est que Mélenchon, qui n’est pas élu, ne peux pas faire pression sur l’ensemble de son groupe, son poids commence à faiblir.
Un rejet massif de la grande majorité des députés
Comme certains élus de la majorité n’ont plus peur de macron, de nombreux députés LFI disent à haute voix ce qu’il pense même si cela va à l’encontre de la doxa mélenchoniste. Une députée LFI dira, lors de cette réunion, que «les conditions ne sont pas réunies». Elle estime que «s’il n’y a pas d’évolution côté justice, je ne vois pas comment il peut revenir». Toutefois, on trouvera toujours des élus qui iront dans le sens de leur chef: «je souhaite qu’il participe au combat parlementaire, dit ce proche de Quatennens. Je crois à la nécessité de combattre les violences sexistes et sexuelles mais il faut respecter un principe de proportionnalité. Je trouve que le mouvement a eu une réaction forte, conséquente, mais ces faits ne sont pas identiques à d’autres».
La situation était déjà explosive au sein de la Nupes mais le cas Quatennens est en train de les diviser encore plus. Une tribune est en préparation et émanerait des différents responsables des cellules de lutte contre les violences sexistes et sexuelles des partis de gauche mais aussi de leurs homologues syndicaux est en cours de signature sous la houlette de la CGT. Depuis un an et demi, ceux-ci se réunissent tous les trois mois pour échanger sur leurs bonnes pratiques. Hélène Bidard, du PCF, précise que «nous constatons qu’un cadre disciplinaire n’existe pas dans nos structures et nous essayons de l’organiser».
C’est le bordèle chez ceux qui se pensent irréprochable- je constate que pour eux démocratie est synonyme de totalitarisme, comme chez Poutine, en Iran ou chez Al-Qaïda.
La LFI est une claque à la démocratie toutes leurs outrances passent comme une lettre à la poste, avec les applaudissements des médias meanstrens.
C’est sûr que la F.I. ne devrait pas exister car anti FRANCE et FRANCAIS. Mais pourquoi lui interdir de se présenter à l’assemblée alors que d’autres personnalités sont elles mis en examen?
Ministres et autres.
Je pense que l’on fait beaucoup de bruits des qu’il s’agit d’élus de la F.I. ou du R.N. les médias ne parlent pas beaucoup ou beaucoup moins quande il s’agit d’autres élus ou ministres.
En plus il est en arrêt maladie, il profite du système, il doit dégagé de l’assemblée avec melenchon deux beaux connards en moins