
Capture d'écran France Info ©Cnews
Le 25 janvier 2025, une publication de Franceinfo a suscité une vive polémique sur les réseaux sociaux et dans les milieux médiatiques. La chaîne publique, dans un article traitant d’une opération récente de libération de prisonniers, a fait mention de la «libération de 200 otages palestiniens» par Israël. Cette formulation a provoqué de nombreuses réactions, notamment concernant l’usage du terme «otages» pour décrire des Palestiniens détenus dans des prisons israéliennes, essentiellement des terroristes du Hamas et du Hezbollah.
Une formulation issue de journalistes pro-palestiniens
Dans son reportage, FranceInfo rapportait la libération de plusieurs centaines de Palestiniens dans le cadre d’un échange organisé entre Israël et le groupe terroriste du Hamas, sans préciser dès le début que les personnes concernées étaient des détenus. Néanmoins, les journalistes de FranceInfo ont utilisé le terme «otages» pour décrire la libération des 200 prisonniers essentiellement issus de différents groupes terroristes, reprenant ainsi la terminologie du Hamas. La chaîne publique a immédiatement été critiquée, beaucoup estimant que le vocabulaire employé implique une connotation «inappropriée» et «tendancieuse». Plusieurs experts médiatiques et politiques ont rapidement réagi. Sami Boukhelifa, envoyé spécial du Moyen-Orient pour RFI, a déclaré : «L’emploi du terme ‘otages’ est une grave erreur à la fois sur le plan journalistique et éthique. Cela contribue à une confusion dangereuse sur la nature de ces détentions».
FranceInfo s’excuse et «suspend» un journaliste
Si CNews a été le premier média a dévoilé cette information dès dimanche matin, sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes ont appelé le média public à rectifier son article et à présenter des excuses. Certaines associations de défense des droits de l’Homme, comme Amnesty International France, ont également publié des communiqués pour souligner l’importance de la précision dans les termes utilisés par les médias lorsqu’il s’agit de sujets aussi sensibles. Face à la montée des critiques, FranceInfo a publié un communiqué, samedi 25 vers 21h, où la direction a expliqué qu’il s’agissait d’une «erreur inadmissible», remplaçant le terme «otages» par «prisonniers palestiniens» dans son fil d’actualité.
Cependant, pour certains observateurs, cette rectification tardive ne suffit pas. Ils soulignent la prise de position du service publique de l’audiovisuel en faveur du Hamas dès le début du conflit le 7 octobre 2023. Ils réclament l’éviction du ou des journalistes impliqués dans l’édition de ce reportage. De plus, le soutien immédiat des députés de La France insoumise, Rima Hassan en tête qui s’est fendue d’un «MERCI» adressé à FranceInfo, ne fait que montrer la prise de position radicale de l’audiovisuel public en faveur du groupe terroriste. Le groupe public, rappelons-le, coûte 4 milliards d’euros par an aux Français.
Sciences Po, les écoles de magistrature, de journalisme et pleins d’organismes publics sont noyautés et même dirigés par la gauche la plus dure…donc pourquoi s’étonner de tels comportements et discours anti démocratiques et même anti france…ces gens là sont payés avec nos « chers » impôts et c’est gravissime ce genre d’erreurs…comme si les gros titres n’étaient pas relus avant parution ? de qui se moque-t-on ? honte à eux !!!!
Comme si personne ne relisait les gros titres avant parution ? vite fait de fausses excuses pour ne pas se voir sanctionner financièrement au niveau des subventions publiques en 2025
Car payés avec de l’argent public (4 milliards/an avec nos « chers » impôts) c’est France déInfo plutôt…les gauchistes ne pouvant s’empêcher de s’adonner à la propagande anti france plutôt qu’antifa…honte à vous qui sortez sans mettre une faute à chaque mot (sans votre bienheureux ordi) des écoles de journalisme à forte orientation gauchiste comme sciences po et plein d’autres établissements publics tenus par des Fagauchistes !!! honte à vous