
urgences
L’Assemblée nationale est actuellement le théâtre d’un débat intense et d’enjeux majeurs pour l’avenir de la Sécurité sociale en France. Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour l’année 2026 fait face à des choix budgétaires critiques, soulignant la tension entre la nécessité de réductions de dépenses et l’impact sur les citoyens.
Les détails du projet indiquent un arrêt temporaire à 62 ans et 9 mois
Dans le nouveau climat politique, la réforme envisagée pour l’allongement progressif de l’âge de départ à la retraite est suspendue. Les détails du projet indiquent un arrêt temporaire à 62 ans et 9 mois, avec un gel des trimestres cotisés à 170, en attendant les résultats de la prochaine élection présidentielle. Cela pourrait signifier un retour à la progression vers l’âge de 64 ans et 172 trimestres, en l’absence de nouvelles directives post-électorales.
Un frein considérable est également attendu sur les dépenses d’assurance maladie
Pour l’année 2026, l’ambition gouvernementale est de réduire le déficit de la Sécurité sociale à 17,5 milliards d’euros, suivant un déficit de 23 milliards en 2025. Des mesures d’économies sont envisagées, incluant un gel des revalorisations des pensions de retraite et prestations sociales initialement indexées sur l’inflation, bien que récemment, il a été suggéré de renoncer à cette initiative. Un frein considérable est également attendu sur les dépenses d’assurance maladie, avec l’anticipation de réaliser 7,1 milliards d’euros d’économies.
Pour juguler les dépenses de santé, une proposition prévoit le doublement des franchises médicales et des participations forfaitaires. L’impact se ferait sentir sur les frais de médicaments, les consultations et les transports sanitaires, avec une hausse significative des plafonds annuels.
Les dispositifs d’arrêt de travail sont aussi revus, limitant la durée d’un premier arrêt à quinze jours en médecine générale et à un mois pour les hospitalisations, avec possibilité de renouvellement, mais un certain durcissement est à prévoir.
Les compléments de salaire que constitue l’apport des Comités sociaux et économiques (CSE), tels que les tickets-restaurants et chèques vacances, seront désormais sujets à une contribution patronale. Cette mesure vise à les aligner sur d’autres dispositifs salariaux et dissuader les pratiques de substitution aux salaires.
Parmi les rares mesures favorables aux assurés se trouvent l’instauration d’un congé de naissance et une attention particulière portée aux retraites des femmes, permettant l’utilisation de trimestres cotisés supplémentaires obtenus par maternité pour un départ anticipé en retraite.
Cet aperçu du PLFSS pour 2026 révèle les tensions du gouvernement entre l’équilibre budgétaire et la protection sociale de ses citoyens. Les décisions prises auront des implications concrètes pour la population et continueront d’alimenter les discussions politiques dans les prochains mois.

et , tous ces médicaments qui vont à la poubelle lorsque le traitement est terminé
sans compter tout le matériel qui ne sers plus au décès d’une personne et qui , malgré sont sous protection plastique , il faut les jeter car aucun organisme ( hôpital , médecins sans frontières …etc )ne peuvent les reprendre car l’état demande une facture pour tout
là aussi , il y a beaucoup d’argent de gaspiller et aucun élu n’en parle
Mais quand fera-t-on la chasse au gaspillage d’argent par nos élus ? Quand réduira-t-on le budget faramineux du train de vie de l’Etat et particulièrement de son chef et de sa suite ? Avant de toujours rechercher de nouvelles recettes, il faudrait déjà commencer par réduire les dépenses inutiles, la gabegie gouvernementale et les aides aux autres pays dont on n’a plus les moyens ! Et puis, surtout, virer hors de nos frontières tous les parasites qui profitent de nos largesses et nuisent au pays sans y apporter la moindre contribution ! Pour finir, réindustrialiser la France pour fournir du travail à tous les jeunes désœuvrés. Après et seulement après, on pourra voir quelles sont les recettes à trouver, si besoin est !
on ne touche pas aux élus.
Pour la X ième fois, pour redresser la SS, la solution la plus efficace et qui ne pénalisera pas les
honnêtes gens, dont , tous les cotisants!!!.
Se donner les moyens pour aller à la chasse de tous les profiteurs et fraudeurs, travailleurs non déclarés, travail dissimulé, entreprises, CAF, RSA, ETAT, soit , tous ceux qui ne payent pas leurs cotisations.
Sans oublier, d’arrêter, de favoriser l’augmentation des petites retraites, dont bénéficient ces fraudeurs( sauf, évidemment, ceux qui ont cotisés ).
Et, bien sûr, les pénalisants en les faisant payer les arriérés !!!.
Fiscalement, c’est la même chose.
Encore faut-il en avoir la volonté, car, comme toujours, la solution de facilité, c’est de faire payer l’ensemble des français!!!.
Y en a MARRE!!!!!.
Combien de temps faudra t il pour que l ‘état fassa correctement leur travail, je me pose la question si tous ces fonctionnaires sont correctes dans la validation des dossiers.
Vérifier de ce côté
Pauvre France !!!
Comment les députés osent voter des lois pareilles droite et gauche confondues, ce qui prouve qu’ils sont tous pourris, ils n’en on rien à foutre des petits retraités qui sont au bord du gouffre, ils atteignent les pauvres gens mais eux sont tjrs préservés, ils me dégoûtent tous et personne pour empêcher cela…..